SUMMARY
Dans ce texte fait d’énoncés de formes et de longueurs variées, Cécile Mainardi tente d’« écrire quelque indessinable ». Y apparaissent un certain nombre de thèmes récurrents de son travail, l’eau, bien sûr, mais aussi l’articulation de l’écriture à la lecture, sur fond de questionnement de la représentation artistique. À mesure de l’écriture de cet homme, du flux nécessaire à sa définition, le texte s’augmente d’une réflexion sur le virtuel tout en considérant les limites d’un univers numérique.
Parallèlement, Cécile Mainardi développe avec différents auteurs le projet collectif d’autant d’« hommes de … », en souvenir d’un certain « homme » de Christophe Tarkos.